20 mai 2014
Amour et solitude à Giverny
Contrainte : écrire à partir d'une carte à la manière de Baudelaire
L’étang attire par son calme
Le pont conduit au pays des chimères, par delà les murs et les nuages
Les arbres jouent avec le vent
Les roseaux murmurent une douce romance
Les nymphéas ouvrent leur cœur.
Le soleil pleure des perles d’or
Sourdes aux lamentations, les herbes folles gambadent dans la forêt.
Le chemin s’éloigne à la recherche d’un ailleurs.
La -barrière se poste en sentinelle
Le chêne n’entend plus que sa voix.
Mimi Scribouillard
Publicité
Publicité
Commentaires